24 octobre 2006

Anna Politkovskaïa assassinée !

« le sort des journalistes en Russie est un sujet majeur d'inquiétude » pour les Etats-Unis. « Je me suis toujours efforcée d'être interviewée par ceux qui essayent d'être des voix indépendantes »

Madame Rice à Moscou

"La rhétorique doit vraiment se calmer. Je suis particulièrement attachée à ce qu'aucun discours n'encourage une provocation militaire dans les deux conflits gelés d'Abkhazie et d'Ossétie du Sud", a déclaré Mme Rice, samedi, à des journalistes qui l'accompagnaient entre Pékin et Moscou.

20 octobre 2006

Madame Rice en Chine: NON au nucléaire Nord Coréen!

Secretary Rice meets with Chinese President Hu Jintao in Beijing, China, October 20, 2006.
Condi discute avec le Président Chinois de l'application des sanctions contre la Corée du Nord.
"La République populaire démocratique de Corée (RPDC) devrait retourner aux discussions sans conditions et devrait commencer à mettre en oeuvre l'accord de septembre 2005 sur les négociations à six", a déclaré Mme Rice lors d'une conférence de presse commune avec M. Li.

09 octobre 2006

L'escalade de la Corée du Nord !






Nous ne pouvons pas accepter la prolifération nucléaire!


Napoléon = 6 000 000 de morts!


Hitler = 60 000 000 de morts!


La prochaine guerre mondiale, ce sera donc au moins 600 000 000 de morts !


NON A LA PROLIFERATION !


Au CERN à Genève, personne n'a été dupe!


"Pour se protéger de la menace de prolifération nucléaire, il faudra utiliser la force"
Dans l'un des chapitres d'un récent ouvrage collectif consacré à la possibilité d'une élimination complète des armes nucléaires, on trouve une idée intéressante: tout citoyen devrait considérer comme son devoir d'alerter l'opinion publique s'il venait à prendre connaissance d'un quelconque événement laissant à penser qu'un groupe ou un pays cherche à acquerir la bombe atomique. [Joseph Rotblat, Jack Steinberger et Bhalchandra Udgaonkar (sous la direction de): ``Un monde sans armes nucléaires'' Editions Transition, Paris, 1995.] Or c'est précisément ce qu'André Gsponer dit avoir tenté de faire au début des années 80 lorsqu'il s'aperçu que l'Irak s'intéressait de près aux calutrons, et plus encore lorsqu'il a réalisé que les technologies liées aux accélérateurs de particules risquaient de donner naissance à de nouvelles générations d'armes nucléaires. [André Gsponer et al.: ``La quadrature du CERN'', Editions d'En-Bas, Lausanne, 1984.] ``Mais personne n'a voulu m'écouter, y compris dans les milieux scientifiques, regrette André Gsponer. Peut-être faudra-t-il qu'une grande ville dans un pays occidental soit volatilisée par une bombe atomique pour que l'on se décide à réfléchir sérieusement sur une nouvelle politique de la science et de la technologie, qui prenne en compte de manière vraiment responsable les retombées de la recherche fondamental.''
Comme en confirmation de cette analyse, la résolution 707 du Conseil de sécurité de l'ONU, adoptée le 15 août 1991, spécifie clairement que l'Irak a l'interdiction non seulement de fabriquer, d'importer, et d'utiliser, mais également de conduire ``toute activité de recherche et de développement'' dans le domaine ``des sources de neutrons, d'accélérateurs d'électrons, d'accélérateurs de particules, d'accélérateurs de ions lourds'' ainsi que dans le domaine des ``dispositifs de fusion nucléaire expérimentale.''
D'autres spécialistes voient également dans le dévelopement incontrôlé de la recherche un facteur clé de la prolifération nucléaire. Une prolifération d'autant plus inévitable que le Traité sur la non-prolifération nucléaire, renégocié ces jours à New York, ne concerne que les technologies liées aux réacteurs nucléaires. Dans un article récemment publié par la revue ``Science'', John Nuckolls, directeur associé d'un des plus grands laboratoires militaires américains (le Lawrence Livermore National Laboratory), affirme que ``la dissémination des progrès scientifiques et technologiques ainsi que la croissance économique offrent à un nombre toujours croissant de nations la capacité de développer des armes nucléaires''. P.K. Iyengar, ancien directeur de l'Institut Bhabha de recherches atomiques à Bombay et ancien président de la Commission indienne pour l'énergie atomique, exprime un opinion semblable dans un éditorial de la revue scientifique indienne ``Current Science'': ``Au fur et à mesure que la science nucléaire progresse, la technologie nucléaire évolue, aussi bien pour des usages pacifiques que militaires. (...) Il est important que les physiciens en tiennent compte et qu'ils informent les responsables politiques et le grand public.''
POUR CEUX QUI DOUTERAIENT ENCORE DE LA NECESSITE DES GUERRES EN IRAK!
La non intervention française en 2003 a fait le jeu de l'Iran.

08 octobre 2006

Non au "nucléaire civil" Iranien sans contrôle total.



La France dit Non au projet d'enrichissement d'uranium en Iran. C'est une bonne chose. Ahmadinejad doit comprendre clairement le message. L'occident doit rester ferme et uni face à cette crise.

06 octobre 2006


Cairo, EgyptOctober 3, 2006
Secretary Rice holds a joint press conference with Egyptian Foreign Minister Aboul Gheit following meetings.
L'amitié, la paix, la coopération, le développement économique, la sécurité, c'est ce que veulent les musulmans modérés.

Condi avec Zipi Livni


Secretary Rice is greeted by Israeli Foreign Minister Zipi Livni in Jerusalem.
Profonde amitié et converges de vues. C'est par ces mot que l'on pourrait qualifier la relation d'alliance entre les États Unis et Israel. C'est aussi des efforts pour parvenir à une paix durable au Moyen Orient où Israel a toute sa place.

05 octobre 2006

Rencontre en Palestine.

Le peuple palestinien a assez souffert. Une paix durable est-elle possible ? Il faudra bien parvenir à une reprise des négociations pour le construction d'un État palestinien jouissant d'une pleine et entière souveraineté.

02 octobre 2006

Palestine, des souffrances sans fins.

Dans un communiqué publié au siège de son organisation à Ryad, Abderrahman Al-Attiyah a "déploré" les heurts armés de Gaza, invitant toutes les factions palestiniennes à "mettre fin aux affrontements et à recourir au dialogue".
"L'effusion du sang des Palestiniens est une ligne rouge", a-t-il ajouté, soulignant que "les différends interpalestiniens inquiètent les pays de la région, qui ont toujours soutenu le peuple palestinien".

01 octobre 2006

Condi au Moyen Orient

« En attendant, tout le monde va essayer de le soutenir de toutes les manières possibles afin de maintenir en vie les éléments de l'Autorité palestinienne qui ont accepté les termes de la paix », a-t-elle dit aux rédacteurs du New York Times le 25 septembre.